Faisant sonner les guitares et les claviers comme rarement
ces dernières années, ces anglais font partie
de ceux qui arrivent à faire fusionner la techno et
la pop de façon très naturelle ; en équilibre
parfait. Voilà le constat après 'Drink to moving
on' et 'Talk amongst yourself'.
Très doués sur les arrangements donc, mais si
cela fonctionne admirablement sur ces deux premiers titres
grâce à des mélodies fines et des refrains
entêtants, le reste de l’album tombe rapidement
dans la facilité et la monotonie. Des morceaux quelquefois
plaisants, mais insignifiants au-delà de quelques écoutes,
voire agaçants (les gimmicks faciles ou les chœurs
à la Sting période the Police 80-82). La deuxième
partie de l’album est presque inconsistante.
Contentez-vous des deux ou trois titres qui ne manqueront
pas de sortir en singles car il y a de fortes chances que
l’un d’eux rencontre le succès !
Titres préférés : Talk amongst yourself
- Little bin
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